machotapette

Comme je vous l'ai déjà raconté, j'ai commencé à 12 ans à mettre en cachette les dessous et les nuisettes de ma soeur, âgée de 3 ans de plus que moi.

Pendant plusieurs années, dès que j'étais seul à la maison, je me précipitais dans la chambre de ma soeur, je passais une de ses jolies culottes de fille, j'accrochais un de ses soutien-gorges, puis, dans cette tenue, je caressais le bout de mes seins à travers le tissu et je titillais ma petite bite. Souvent, j'enfilais aussi une de ses jolies nuisettes, ou une de ses robes, qui m'allaient bien, car ma soeur et moi avions, à cette époque, la même taille.

Ce qui faisait le plus gonfler ma petite bite, c'était de m'imaginer à la place de ma soeur, Judith, une jolie blonde souriante et bien formée, qui plaisait beaucoup aux garçons. Je me voyais, portant une jupette de ma soeur, me faire peloter par ses copains ; je sentais leurs mains remonter sous ma jupette ; je regardais la bosse qui gonflait dans leur pantalon. Et, fatalement, j'essayais de me représenter le moment où l'un d'eux me ferait mettre à genoux et sortirait sa queue devant moi, pour que je la suce.

Après plusieurs années de tels fantasmes de tapette, j'ai commencé à m'enfoncer des choses dans mon petit trou, pour savoir ce que ça faisait d'être pénétré.

J'avais 15 ans, et, après plusieurs mois à m'élargir chaque jour le petit trou avec des carottes, je suis passé aux concombres. Utilisant de l'huile de cuisine pour faciliter la pénétration, je parvins assez rapidement à m'enfiler les plus gros calibres dans mon trou dilaté.

Assez rapidement aussi, mon anus devint boursouflé, avec des bords gonflés, un peu comme les grosses lèvres d'une chatte. Ce sont seulement les tapettes qui sont habituée à être sodomisées avec des gros calibres, souvent et fortement, qui finissent par avoir un tel "cul en chou-fleur", selon l'expression que j'appris bien plus tard.

Entre mes fesses, mon anus boursouflé et gonflé est le signe révélateur de ce que je suis : une tapette, une lopette, une pédale.

Bon, eh bien voilà, je me lance.

En apparence, je suis un beau mec macho, grand et baraqué, qui aime frimer en public devant les femmes et leur faire croire qu'il est un vrai mâle.

Mais au lit, j'ai toujours été nul avec mes copines, incapable de bander pour elles. Même avec les plus jolies, ma petite queue restait lamentablement molle. Mon petit sexe mou n'a jamais été capable de pénétrer. Enfin, j'ai des petites couilles qui produisent très peu de sperme.

J'ai fini par comprendre que je suis de nature passive.

J'ai aussi compris pourquoi, depuis que je suis ado, j'aime porter en cachette des jolis dessous de fille : parce que je suis en réalité une tapette.

Il m'a fallu du temps pour accepter ma nature de tapette, mais j'y suis enfin parvenu.

A présent, je suis souvent habillé en fille chez moi, avec des jolies jupes ou robes, et des dessous en dentelle sexys. Je porte en permanence des culottes de femme, et je dors en nuisette.

Quand je sors en boîte le samedi soir, je m'habille de façon efféminée, pour que les gens comprennent que je suis une tapette : jean de fille à petits coeurs sur les fesses, tee-shirt rose, petite ceinture rose, baskets roses, et petite veste en skai.

Physiquement, je ne suis pas féminine, si bien que j'ai l'air ridicule quand je suis habillée en femme.

Je suis totalement passive, docile, soumise, et j'aime obéir.