Samedi 3 janvier 6 03 /01 /Jan 12:22

J'ai raconté comment, à 18 ans, les samedis soirs, je suçais des étudiants dans les toilettes des boîtes de nuit proches de l'université, et comment ils étaient contents de se faire vider les couilles par une tapette comme moi, à défaut d'avoir une copine.

 

Vers la fin de l'année, un de ces étudiants, Thomas, un brun sympa et mignon, me dit qu'il ne veut plus que je suce d'autres hommes que lui. Il a l'air décidé, il insiste fermement, il dit qu'il veut que je sois sa "femme". Subjugué par cette volonté de mâle, j'accepte rapidement.

 

Il m'invite chez lui, dans sa chambre de bonne située au-dessus du grand appartement de ses parents, et là, alors que je suis en train de sucer sa belle queue, il déclare qu'il veut me baiser pour que je sois "totalement à lui".

 

Bien que j'aie déjà sucé des dizaines d'hommes, je n'ai encore jamais été sodomisé par l'un d'eux. Et bien que mon anus soit très ouvert, puisqu'à 15 ans déjà je m'enfonçais des gros concombres dans le cul, je n'ai jamais éprouvé l'envie d'être pénétré par un homme.

 

J'explique tout cela à Thomas, je lui dis que ça me fait peur, que je trouve humiliant l'idée d'être sodomisé par un homme.

 

Mais il insiste : il me dit qu'il est normal que je me fasse baiser "comme toutes les femelles", que je vais aimer ça et que je ne pourrai plus m'en passer.

 

Finalement, rouge de honte, je finis par accepter, en lui demandant d'être doux.

 

Il me fait mettre à quatre pattes sur le bord de son lit, il prépare mon trou avec ses doigts pleins de salive, il pose son gland sur mon anus... et, lentement, il enfonce son gros gland en moi.

 

Ca y est, je suis pénétré par un homme; ça y est, j'ai une vraie queue en moi ; ça y est,  je suis une vraie salope, une vraie tapette !

 

Dans les jours qui suivent ce dépucelage, je me rends compte qu'il m'a rendu encore plus docile, car il m'a fait comprendre ma place, comprendre que je suis faite pour être enfilée, comprendre que je dois obéir et servir en tout au plaisir des vrais mâles.

 

Thomas avait raison, car je me mets rapidement à ne plus pouvoir me passer d'avoir sa queue en moi, à le supplier de me prendre avec son membre dur, à gémir amoureusement pendant qu'il m'enfile, à aimer sentir les jets de son sperme au fond de mon ventre.

 

Aujourd'hui, il m'arrive encore souvent de songer à la queue de Thomas, celle qui m'a dépucelé, celle de mon premier maître, celle qui m'a appris que nous, les tapettes, notre rôle est de satisfaire les hommes aux queues dures, les vrais hommes virils qui enfilent les femmes et les pédales.

 

Je ne pourrai jamais oublier Thomas, car c'est lui qui a fini de faire de moi la tapette que je suis.

Par Macho tapette - Publié dans : La tapette parle - Communauté : melany_travesti_soumise
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